description mécanique: 

Notre éolienne est de type Tripale horizontale

L’impression 3D

Pour concevoir cette coque, nous avons choisi de l’imprimer intégralement en 3D (fibre 1,75 mm) : la coque, la dérive, ainsi que tous les éléments permettant d’optimiser un maximum de place au sein même du corps de l’éolienne. Cette impression a été minutieusement préparée et paramétrée dans les moindres détails pour avoir ,au final, un objet a la fois très résistant, esthétique mais pour un bilan carbone optimisé.

La coque

De plus, afin de répondre aux critères du concours (dimensions), mais aussi de gagner en espace utilisable au sein même de la nacelle, nous avons dû redessiner une coque pour notre éolienne. Celle-ci endosse un rôle primordial dans le bon fonctionnement et la quête de performance, à savoir : assurer la mise en position de la génératrice ainsi que la liaison pivot permettant l’orientation de l’éolienne tout en garantissant une solidité à l’épreuve de la soufflerie.

Le design extérieur a quant à lui été dessiné pour optimiser l’aérodynamisme tout en adoptant la forme du corps d’un requin.

Le châssis

Enfin, nous avons choisi notre châssis pour sa résistance (acier de 4mm d’épaisseur), son large espace interne (700mm x 700 mm x 350mm) mais aussi ses nombreuses possibilités d’accroche du mât, ce châssis à été récupéré d’une ancienne éolienne du concours pour être nettoyé, réparé mais surtout modifié pour qu’il puisse accueillir le mât de notre éolienne de manière solide et réglable.

Par ailleurs, c’est aussi dans ce châssis que reposeront quelques animations à observer lors des essais.

description éléctrique:

Le cerveau de notre éolienne est un microcontrôleur Arduino avec un module wifi intégré. Celui-ci sera d’abord en charge de traiter les données reçues par le capteur laser (vitesse de rotation, fréquence…) puis de les envoyer à l’utilisateur sur un appareil au choix (ordinateur ou smartphone).

Ensuite le système de LEDs est composé de plusieurs rubans intégrés à notre coque, leur allumage peut être contrôlé soit en fonction de la vitesse de rotation, soit par un programme arduino spécifique prédéfini.

De plus, étant donné que notre génératrice produit 24V nous avons dû intégrer un hacheur élévateur de tension (commandé par un autre Arduino) afin d’avoir une tension de 48V. Les connexions et la compatibilité des différents éléments interne à notre coque est assurée grâce à une carte électronique composée de transistors, de résistances et de régulateurs.

 

photo éolienne:

 

Vous pouvez ici observer une vue éclatée de la nacelle comprenant tous les différents éléments qui la composent tels que les éléments de mise en position de la génératrice(bleu), les pièces de la liaison pivot (jaune), la coque imprimée en 3D (gris) ou encore la visserie (rose).

Ici, une vue de l’éolienne lors d’un test soufflerie.

Ici, une vue interne de la nacelle avec le capteur de vitesse et l’Arduino en arrière plan installé sur sa plaque mobile. (à noter que nombre d’équipements additionnels ne sont pas présents sur cette photo).

La première coque en cours d’impression 3D.